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09/09/2014 : Etape 8, Donaueschingen

Cette 8e étape s’annonçait bien. Beau temps et départ 8 h pour une petite journée : 112 km.

Nos amis longent le Rhin sur des pistes en terre battue, fréquentes en Allemagne.

A 12 h, ils déjeunent devant les chutes du Rhin. Paysage extraordinaire, bruit assourdissant… le site est paraît il un lieu complètement magique qu’il faut absolument voir.

Les compères savourent cette belle journée et ce lieu fantastique l’esprit serin, puisqu’il ne reste plus que 25 km à parcourir. Sauf que………

Dès le départ de l’après midi : c’est la grande douche froide : la piste plate se transforme en une succession de murs infranchissables avec des vélos chargés comme ils ont ! C’est l’enfer sur Terre dans la forêt Noire.

A deux reprises, Jean-Michel met pied à terre, dont sur un mur de 1,3 km à 18 % !

Comme un malheur n’arrive jamais seul : de nouveau, tous les hôtels où ils comptaient dormir étaient complets. C’est Marie-Hélène qui va les sauver d’une nuit sous tente. En revanche, le seul hôtel disponible dans le coin est à… 25 km, et c’est reparti !!!

Bilan de la journée : 1 042 m de dénivelés… l’après midi ! Nos amis sont éprouvés mais je vous rassure, la voix au téléphone était du même air heureux que tous les soirs, le moral reste au top. D’autant que le rendez vous avec le cousin allemand est fixé demain matin à 10 h 30 et que, enfin une bonne nouvelle : c’est justement là où se trouve leur hôtel.

Les photos ont toujours du mal à passer. Ils re-essaieront demain.

A bientôt pour la suite de leur aventure !

A propos de l'auteur

ACS

2 commentaires

  1. BARTHET Claude

    Courage les gars, c’est
    Courage les gars, c’est formidable ce que vous faites.
    Demain le cousin est là, c’est toujours mieux en famille.
    Mangez et dormez bien, la réussite est assurée.
    Vous êtes de sacrés bonhommes.
    Amitiés. Claude

  2. COLLINEAU Jacqueline

    J’avais écrit il y a quelques
    J’avais écrit il y a quelques jours “super reportage et grand merci au reporter” je confirme cela et je salue Stéphane qui, malgré sa fatigue ne nous laisse pas sur le bord de la route et continue à nous faire avancer avec Gérard et Jean-Michel. Epouse de Gérard, j’ai régulièrement des nouvelles, mais j’attends également avec grande impatience le récit journalier de notre reporter. Les photos manquent bien sûr, mais le récit continue et c’est génial. Encore merci et bon courage à vous tous.

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