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Etape 3 : Salles de Curan – la Couvertoirade

Etape 3 : Salles de Curan – la Couvertoirade

Déjà l’arrivée au point cible du raid. Il leur aura fallu deux jours et demi pour atteindre le but. Récit du jour…

Peu de photos aujourd’hui mais nous allons en profiter pour montrer un aspect rarement médiatisé : le premier rituel du matin, le chargement du véhicule d’assistance.

Et oui ! Chaque matin, c’est le même processus qui se déroule. La vie d’étape est particulièrement agréable. Chaque soir est le théâtre d’un nouvel hébergement, de nouvelles rencontres, de nouvelles soirées de rire… Et au petit matin, il faut de nouveau faire les valises et partir.

Rien ne dépasse. Chacun sa place… La rigueur jusque dans la voiture d’assistance. Un raid se gagne aussi par une multitude de détails !

Grosse surprise pour moi ce matin. L’équipe a enfin pris du plomb dans la cervelle et a rompu le contrat avec la boisson mousseuse. Les bonnes résolutions sont là, gageons que la récupération se fera désormais avec une boisson propre à maintenir un niveau de performance élevé le lendemain… Faut-il être optimiste… !

L’étape du jour ne fait “que” 70 km mais elle est néanmoins sévère avec un vent très violent et une constante répétition de côtes aux abords du Larzac.

 

 

Fin de matinée, la troupe arrive à la Couvertoirade chez Sylvain et partage un bon repas. Je ne crois plus un instant au protocole de récupération prescrit… Les conseils du Président semblent bien loins… 🙂

L’après midi est consacrée au repos et au tourisme avec l’équipe d’assistance.

 

Au moulin de la Couvertoirade.

Toute l’équipe jointe par téléphone passait un excellent repas ce soir chez Sylvain, dans une ambiance au beau fixe !

Demain, circuit de découverte des alentours préparé par Sylvain.

Bonne nuit à tous nos amis.

A propos de l'auteur

ACS

2 commentaires

  1. Michel Penneteau

    Vu et lu. Bravo aux
    Vu et lu. Bravo aux participants, assistants et “relatants”…

  2. Domi Lapierre

    Ça à l’air tellement facile à
    Ça à l’air tellement facile à voir vos mines rejouies qu’on se demanderait même pourquoi on ne l’a pas fait soi même… Bravo les coursiers !
    Cependant une question me taraude… comment ils rentrent ? Parce que les vélos vont être à l’étroit malgré le rangement de la voiture !

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